Face à la montée fulgurante de la côte du leader abolitionniste, le Président et honorable député national Biram Dah Abeid, le pouvoir actuel en Mauritanie vient d’actionner récemment ses véritables armes de défense : ses machines de mensonge, de diffamation, d’intoxications et de diffusion, à travers les réseaux sociaux, de messages mal sains dont l’objectif double est, comme toujours, de tenter de ternir l’image de Biram et peut-être de préparer l’opinion nationale et internationale à cautionner, accepter des mesures que le pouvoir serait tenté de prendre à l’encontre de l’honorable député pour ralentir, freiner ou anéantir sa marche sur le chemin de l’édification d’une Mauritanie nouvelle, une Mauritanie débarrassée d’injustices flagrantes, d’inégalités criantes, de gabegie et de détournements cruels, d’esclavage, de faiblesse impardonnable en matière de fourniture de services sociaux ( eau, électricité, éducation, santé …)
Si l’affolement consécutif à l’adhésion sans condition des populations au projet de société que porte BDA, adhésion et enthousiasme enregistrés lors de la quasi-totalité des missions effectuées à l’intérieur de toute la Mauritanie profonde aspirant au changement ; si cette percée fulgurante a déconcerté , grandement surpris , voire affolé les hautes sphères de l’administration et certains milieux politiques et sociaux a conduit à la provocation dont ont été objet le Président Biram et sa délégation à Atar, comme elle a conduit à une provocation du genre jamais vu, organisée en Assaba , plus précisément à FAM LEKHRERAT et du mensonge cuisant selon lequel Oumar YALI aurait claqué la porte au parti Rag.
Le mensonge cuisant relatif à la porte claquée au parti Rag , relève purement et simplement du domaine de la démence. La provocation organisée à Fam Lekhreratt nous dit beaucoup sur la Mauritanie et ses lobbies. En effet, dans quel pays, dans quelle société, où dans quelle partie du monde un citoyen a-t-il le droit de venir perturber les travaux d’un groupe légal agissant dans la légalité ? L’acteur de cette provocation organisée en Assaba, a servi de mercenaire sans peut-être s’en rendre compte en ce sens qu’il s’est livré à un acte de conséquences qui pouvaient être on ne peut plus graves compte tenu de son intrusion violente, ses critiques acerbes et accusations non fondées adressées à un leader devant ses militants, et ses insultes à caractère esclavagistes et racistes à l’encontre de l’assistance.
Les mensonges, les diffamations, l’intoxication, ne sont nullement de nature à participer à l’émergence d’une Mauritanie qui voudrait s’inscrire parmi les nations justes, égalitaires et fraternelle où les citoyens se soumettent aux mêmes devoirs et bénéficient des mêmes droits ; quant à s’imaginer que ces campagnes mensongères et provocations peuvent avoir un impacte qui perturbe la marche sur le chemin que Biram emprunte pour débloquer une Mauritanie qui piétine depuis plus de soixante ans; croire que mensonges, intoxications et diffamations auront un impact, cela relève du rêve et donc peine complètement perdue.
Le président du Parti RAG, l’ancien ministre Oumar ould Yali
Le 10 septembre 2022, à Nouakchott.